Usage optimal de l’échographie cardiaque au Québec

2023-02-14 | Imagerie médicale

Notice Santécom: 166409

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Sondage portant sur le Rapport en soutien: Usage optimal de l’échographie cardiaque au Québec dans le contexte de l’insuffisance cardiaque chronique (volet 2)
Sondage portant sur l’Outil d'aide à la décision : Utilisation de l'échocardiographie dans le contexte de l'insuffisance cardiaque chronique chez les adultes
Sondage portant sur le Rapport en soutien: Usage optimal de l’échographie cardiaque au Québec : diagnostic des patients qui présentent un souffle et suivi des patients atteints d’une maladie valvulaire (valves natives et valves prothétiques) (volet 1)
Sondage portant sur les outils d’aide à la décision : Échocardiographie (Outils) - volet 1

 

Souhaitant améliorer l’accès aux examens diagnostiques et la pertinence de leur utilisation, le MSSS a confié à l’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS) le mandat de produire des avis/guides avec des indications sur des situations cliniques où le recours à l’imagerie médicale est fréquent et onéreux, et pour lesquelles le nombre d’examens inappropriés est vraisemblablement élevé. L’échocardiographie fait partie des examens dont l’utilisation pourrait être optimisée. En effet, le nombre d’examens d’échocardiographie réalisés au Québec a connu une hausse moyenne de 4 % par année entre 2009 et 2018.

Les guides/normes publiés sur la présente page visent à soutenir les cliniciens, particulièrement en première ligne, dans la décision de recourir ou non à l’échocardiographie lors de certaines situations cardiovasculaires, comme suit :

  • Volet 1 (mars 2022) : Maladies valvulaires cardiaques chez les patients qui présentent un souffle ou ceux atteints d’une maladie valvulaire connue ou encore qui sont porteurs d’une valve cardiaque prothétique;
  • Volet 2 (février 2023) : Patients qui présentent une insuffisance cardiaque suspectée ou connue.

Élaborées à partir des meilleures données scientifiques et d’un consensus d’experts, les indications et les contre-indications mises de l’avant ont le potentiel d’accroître la pertinence du recours à l’échocardiographie pour des conditions cliniques susmentionnées. La réduction du nombre d’examens à faible valeur ajoutée pourrait conduire à une amélioration de l’accessibilité à l’échocardiographie, de la qualité de vie des patients et, finalement, à des réductions de coûts pour le système de santé.

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